Mai 2005
Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs, les professeurs et bien sûr les élèves.
Nous sommes très heureux d’être ici à Pamiers. Il y a beaucoup à découvrir et je pense que c’est une expérience enrichissante pour nous tous. Tout d’abord parce que nous pouvons améliorer nos connaissances de la langue française et approfondir les relations franco-allemandes mais aussi parce que nous avons l’occasion de découvrir un mode de vie différent ; car s’il y a bien sûr beaucoup de points communs entre nos cultures, il y a aussi quelques différences, parfois anodines, mais qui sont amusantes à vivre quotidien.
Les grèves d’hier à Pamiers sont des nouvelles expériences. En Allemagne, ce n’est pas possible de bloquer une école avec 20 élèves.
Mais ça serait difficile parce que notre école a huit entrées et il n’y a pas de murs autour. En plus, les fonctionnaires n’ont pas le droit de faire la grève. Mais je pense que je vais quand même essayer de manifester à Crailsheim et de bloquer mon Lycée.
Nous apprécions beaucoup l’hospitalité et la gentillesse des Français. Nous aimons beaucoup être ici et je suis sûr que plusieurs d’entre nous ont déjà fait des nouvelles connaissances et ils souhaiteront revenir parmi vous.
Et cela va de soi que tout le monde sera bienvenu à Crailsheim.
Mais pour réaliser un tel échange nous avons besoin de votre coopération et d’une bonne organisation.
Nous voudrions remercier toutes les personnes qui ont rendu cet échange possible, nous permettant de partager beaucoup avec les Français.
Un grand merci à monsieur le maire, M. Trigano,
aux professeurs français :
-Mme Lafont
-M. Faup-Pelot
-Mme Benazet
-Mme baillet
-Mme Claire Schumacher ( la fille qui m’a aidé écrire ce discours )
aux professeurs allemandes :
-Mme Schanbacher
-Mme Schley
-Mme Just
-Mme Martic.
Les familles d’accueil et bien sûr tous les correspondants français et tous les élèves allemands.
Merci pour votre attention
Mathias Kurzay