Praktikum von Julia Eipper in Las Parets / Pamiersvom 27. Juli bis 26. August 2007Fotos: Julia Eipper Bearbeitung: Winfried Schley
Le 27 juillet je suis enfin partie à la découverte de la France pour
connaître la façon de vivre typiquement française. J'ai vraiment profité de mon stage à Pamiers, pas seulement au niveau de mon français ou du fait que maintenant je sais discuter couramment, mais c'est expérience a été aussi importante pour mon caractère. Etant à l'étrange pour un mois, sans connaître presque personne, avait interprété un challenge pour moi.
Je ne veux pas dire que j'avais eu des problèmes de m'avancer vers des
inconnus, mais je n'avais jamais été c'est sorte de personne qui est
absolument ouverte, mais plutôt timide. A Pamiers j'ai appris à être franche et curieuse des
gens avec lesquels j'ai travaillé ensemble ou rencontré. Je me suis éclatée d'écouter leurs
histoires, de leur raconter ma vie ou de discuter des sujets différents, par exemple de la
politique. Il me manque déjà de parler de tout et de rien, avant tout d'écouter le français.
Ce séjour en France m'a finalement montré le chemin de ma vie à prendre, c'est en tout cas
étudier le français à l'université. Ma passion pour le pays et la langue ont été renforcées.
Moi, j'en suis très heureuse!!
En plus, le travail avec les enfants a été unique, bien que pendant les premiers jours à Las Parets j'aie été plutôt choquée de la pédagogie des animateurs. Ils ont crié aux enfants, dont j'ai eu l'impression que c'était parfois une façon presque agressive et exactement le contraire de mes idées avec les enfants. Mais après quelques jours j'ai été instruite une meilleure, quand je me suis enfin aperçue que les enfants n'avaient pas réagi et obéi aux instructions qui ont été dites d'une façon très gentille. Je trouve ça un peu dommage, parce que je suis convaincue que les enfants peuvent aussi respecter les animateurs sans que nous soyons obligés de crier après les enfants pour les démontrer qui sont les autoritaires! Mais bon, ça c'est mon avis et malheureusement je dois admettre que ma pédagogie s'est souvent révélée comme utopie, avant tout quand il y avait quelques enfants, qui ont exploité ma complaisance. En vrai, ils ont attendu des animateurs un tel comportement. Mais généralement je me suis bien amusée avec les enfants qui ont été toujours très directs et ouverts; des caractéristiques que j'estime, que je trouve très importantes. Pour moi, ces enfants ont été les clés de la culture française! Sur leur demande, je leur ai appris quelques chansons et jeux allemands qu'ils ont trouvés génial. Ma journée a commencé à huit heures le matin et a été terminée à environ dix heures le soir, avec une pause de trente minutes l'après-midi. On a dormi sous les tipis, ce qui n'a pas été très confortable, mais captivant! Chaque jour nous sommes partis pour la Belle Verte, un camping au Vernet d'Ariège qui regroupe le parcours dans les arbres, du canoë et du raft sport. C'était une bonne possibilité d'enseigner aux enfants de respecter la nature et l'environnement. En jouant, en faisant beaucoup d'activités et en vivant une vraie aventure, c'était le but de favoriser le vivre ensemble et le développement harmonieux sous les aspects sociaux. Comme stagiaire j'ai aidé les animatrices à garder les enfants, à préparer et à réaliser en même temps les activités. Je me suis occupée aux enfants à la piscine et je les ai accompagnés au safari, au canoë et cetera. Je crois qu'ils m'ont regardée comme copine à jouer et s'amuser et c'est pour qu'ils m'aient confié! Chaque semaine il y avait un autre sujet principal par exemple le cirque, les pirates, la ferme et les olympiades. Puis c'était le travail des animatrices de trouver des activités pour les enfants qui ont un rapport avec le sujet. Je l'ai toujours trouvé très amusant et captivant d'organiser une fête des pirates, une équitation aux chevaux ou de maquiller les enfants comme un tigre, une princesse etc. Avec de tels clous les enfants ont été permis de vivre leur vie d'enfant, d'imaginer et de développer la créativité. Dès la deuxième semaine je suis rentrée à la maison chaque soir pour y dormir, parce que comme je l'ai déjà dit, les tipis n'ont pas été très confortables! Ma famille d'accueil a été super gentille. Ce que je me suis aperçue très vite, c'était la façon de vivre qui n'est pas pareille avec laquelle en Allemagne. Ils ont vu tous « plus tranquille » que moi et m'ont souvent dit de calmer un peu. J'aime bien que les Français, peut-être pas généralement mais dans la région où je suis restée (les Midi-Pyrénées), prennent leur temps pour manger, pour discuter la journée et être ensemble avec la famille et des amis. Surtout leur joie de vivre et de voir les choses peut-être un peu moins sévère que moi, cela m'a impressionnée absolument! D'abord j'ai dû m'habituer à cette mentalité assez ouverte et irascible qui est pareille de celle d'Espagne. C'est peut-être à cause de la situation géographique de Pamiers qui se trouve près de la frontière espagnole. Pendant mon séjour en France j'ai vécu, que les gens sont gentils et se montrent serviable partout. On n'a pas besoin d'avoir peur de faire connaissance avec les étrangers. Quand je leur ai dit que j'étais allemande, ils ont toujours réagi d'une façon très positive et m'ont demandé de ma vie. Je l'ai trouvé très agréable. Aussi le voyage en Allemagne qui m'a mené à travers toute la France jusqu'à Paris aéroport, m'a prouvé encore une fois, que connaître une culture d'un autre pays est unique et vachement intéressant. Maintenant après 5 jours à la maison il me manque déjà les conversations avec les habitants et la mélodie de la langue française que j'adore! Je recommanderais à chaque ado de faire un tel stage bénévole en France pour qu'on devienne plus tolérant et ouvert envers une autre culture et mentalité. Motivation, curiosité et tolérance sont les clés de l'amitié, comme celle entre la France et l'Allemagne. Grâce aux tels projets (de l'OFAJ), nous réunissons à construire un pont; un pont qui est peut-être plus fondamental et de grandes valeurs que tout le reste. Julia Eipper julia-eipper@t-online.de |